Le salon du livre 2010

Un petit tour sur au Salon du Livre, le jour de la nocturne et attention, ouvrez bien grands vos yeux, je ne suis repartie qu'avec un seul livre. Waouuuu, c'est mon banquier qui doit me féliciter. Non, parce qu'en général, dans une librairie je fais le black out le plus total et là, sage comme une image. Je n'en reviens même pas moi même. A la base, je n'avais pas d'idée précise sur ce que j'allais ramener chez moi et puis au détour du stand d'Albin Michel, je vois un attroupement pour une séance de dédicace (normal vous allez me dire). Curieuse je m'approche un peu plus et je tombe sur Katherine Pancol.

Tiens, elle vient de sortir un nouveau livre ? 

Ben oui, juste aujourd'hui (30 mars), sort "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi", qui s'avère être le troisième tome des aventures de Joséphine, Philippe, Hortense, Gary, Zoé, Gaétan, Marcel, Josiane, Henriette et j'en passe. Des personnages bien attachants que je ne pensais pas retrouver dans une trilogie. J'ai bien hâte de les suivre à nouveau (une fois ma lecture vampirique terminée, je veux bien sur parler de"La communauté du sud", j'en suis au début du tome 6). 

J'ai toujours aimé me plonger dans ses livres et plus particulièrement dans ses deux derniers : "Les yeux jaunes des crocodiles" et "La valse lente des tortues". Des histoires de vie comme je les aime, que l'on a pas envie de quitter.

J'ai tenté l'option dédicace, je suis même rentrée dans la file (5min) et quand on m'a dit qu'on en avait encore pour 1h, avant d'atteindre notre cible, j'ai lâché l'affaire. Non, faut pas pousser mémé dans les orties tout de même. 

Mon amie et moi continuons donc notre périple. Une voix que je reconnais, attire mon attention. Mais oui, il s'agit bien de Monsieur Beigbeder. L'homme qui ne m'inspirait pas grand chose jusqu'à ce que je tourne les pages d' "Un roman Français". Bon, pas de quoi fouetter les mouches non plus, mais il a tout de même eu le mérite de m'avoir permis de mettre de l'eau dans mon vin. Je me suis rendue compte que je n'étais pas la seule à posséder des trous de mémoire. Peut être faudrait il qu'on m'enferme 48h pour que mon enfance revienne à la surface ? Pour en revenir à l'auteur, j'espere juste qu'il continuera dans cette lignée. 

Un petit tour sur le stand des pays Africains, où je l'avoue, j'ai faillis flancher. Mais ma cops s'en est chargée pour moi. Je sais où les trouver gratos maintenant ;)

Un peu plus loin, je m'arrête net devant l'artiste MChat, dont j'adore les œuvres.

Rue Bonaparte

Après deux bonnes heures de balades littéraire, de champagne écumé et de pieds ratatinés, nous décidons qu'il est grand temps pour nous de rentrer. 

Sur le chemin du retour nous croisons par ordre alphabétique.

Si vous ne la reconnaissez pas, c'est écrit juste au dessus

Eric Emmanuel Schmitt, dont il faut vraiment que j'achète son dernier livre

Notre très cher regretté PPDA ;)

A l'année prochaine, si je suis encore sur Paris.