Voici les 3 titres qui vont composer mon avant dernière sélection pour le Grand Prix du Jury ELLE 2008.
Bientôt l'heure de connaître les grands gagnants ... Suspens ...
Pour le moment je vais devoir bouquiner un peu plus rapidement puisque les commentaires sont à rendre pour le 11/03/08.
Bientôt l'heure de connaître les grands gagnants ... Suspens ...
Pour le moment je vais devoir bouquiner un peu plus rapidement puisque les commentaires sont à rendre pour le 11/03/08.
Dans la catégorie ROMAN : "Les vivants et les ombres" de Diane Meur, aux Editions Sabine Wespieser.
En Galicie, terre rattachée à l'empire habsbourgeois depuis le partage de la Pologne, l'obscure famille Zemka reconquiert le domaine fondé par un ancêtre noble et s'engage fiévreusement dans la lutte d'indépendance polonaise. Pour retracer son ascension puis sa décadence, l'auteur convoque une singulière narratrice : la maison elle-même qui, derrière sa façade blanche et son fronton néoclassique, épie ses habitants. Indiscrète et manipulatrice, elle attise les passions, entremêle les destins, guette l'écho des événements qui, des révolutions de 1848 aux tensions annonciatrices du désastre de 1914, font l'histoire de l'Europe. Elle est partout, entend tout, garde en elle toutes les ombres d'un passé qu'elle connaît mieux que les vivants. Mais les vivants ont sur elle un avantage qu'elle leur envie : leurs drames, leurs désirs et leur mobilité. Les femmes surtout la fascinent. Condamnées comme elle à la réclusion dans la sphère domestique, elles sont réduites, de mère en fille et de tante en nièce, à attendre l'amour en scrutant l'horizon.
En Galicie, terre rattachée à l'empire habsbourgeois depuis le partage de la Pologne, l'obscure famille Zemka reconquiert le domaine fondé par un ancêtre noble et s'engage fiévreusement dans la lutte d'indépendance polonaise. Pour retracer son ascension puis sa décadence, l'auteur convoque une singulière narratrice : la maison elle-même qui, derrière sa façade blanche et son fronton néoclassique, épie ses habitants. Indiscrète et manipulatrice, elle attise les passions, entremêle les destins, guette l'écho des événements qui, des révolutions de 1848 aux tensions annonciatrices du désastre de 1914, font l'histoire de l'Europe. Elle est partout, entend tout, garde en elle toutes les ombres d'un passé qu'elle connaît mieux que les vivants. Mais les vivants ont sur elle un avantage qu'elle leur envie : leurs drames, leurs désirs et leur mobilité. Les femmes surtout la fascinent. Condamnées comme elle à la réclusion dans la sphère domestique, elles sont réduites, de mère en fille et de tante en nièce, à attendre l'amour en scrutant l'horizon.
Dans la catégorie DOCUMENT : "La vie d'Irène Némirovsky" de Patrick Lienhardt & Olivier Philipponnat, aux Editions Grasset.
Irène Némirovsky a connu malgré elle le destin le plus romanesque qui soit. Peu d'écrivains ont joui d'une résurrection posthume aussi éclatante que celle engendrée par le triomphe international de 'Suite française'. Née en Ukraine en 1903 dans une famille de la bourgeoisie juive aisée, établie à Paris en 1919, Irène Némirovsky y a fait toute sa carrière d'écrivain. Son roman 'David Golder', publié en 1929, est un succès, suivi par deux chefs-d' oeuvre, 'Le Bal' et 'Les Mouches d'automne'. Elle mène une vie heureuse entre Paris et la côte Basque jusqu'aux premières convulsions de la crise qui mènera à la Seconde Guerre mondiale. En juillet 1942, quoique convertie au catholicisme depuis 1939, elle est arrêtée par la police française dans le petit village de Bourgogne où elle était repliée, puis déportée à Auschwitz. Elle y meurt le mois suivant.
Irène Némirovsky a connu malgré elle le destin le plus romanesque qui soit. Peu d'écrivains ont joui d'une résurrection posthume aussi éclatante que celle engendrée par le triomphe international de 'Suite française'. Née en Ukraine en 1903 dans une famille de la bourgeoisie juive aisée, établie à Paris en 1919, Irène Némirovsky y a fait toute sa carrière d'écrivain. Son roman 'David Golder', publié en 1929, est un succès, suivi par deux chefs-d' oeuvre, 'Le Bal' et 'Les Mouches d'automne'. Elle mène une vie heureuse entre Paris et la côte Basque jusqu'aux premières convulsions de la crise qui mènera à la Seconde Guerre mondiale. En juillet 1942, quoique convertie au catholicisme depuis 1939, elle est arrêtée par la police française dans le petit village de Bourgogne où elle était repliée, puis déportée à Auschwitz. Elle y meurt le mois suivant.
Dans la catégorie POLICIER : "Les faiseurs d'anges" de Kris Nelscott, aux Editions de l'Aube.
Smokey Dalton, un très bel homme qui fait tourner la tête de toutes ces dames, a fui Memphis pour protéger son fils adoptif, Jimmy, unique témoin à avoir réellement vu l'assassin de Martin Luther King, et recherché depuis par le FBI. Sous une fausse identité, Smokey vit maintenant à Chicago où il exerce divers petits métiers. Un soir, alors qu'il rentre chez lui accompagné de la jolie Laura Hathaway, seule Blanche présente au gala donné par Ella Fitzgerald en faveur des enfants orphelins de la communauté noire, il entend des gémissements venant de l'appartement de sa voisine, Marvella... Kris Nelscott poursuit le récit des formidables enquêtes de son héros, qui débutent en 1968 avec la tragique disparition du leader de la communauté noire américaine. Dans Les Faiseurs d'anges, elle évoque un terrible drame : celui des avortements, formellement interdits, qui se terminent trop souvent à l'hôpital. Une nouvelle fois, le lecteur suit avec passion, dans une Amérique confrontée à ses éternels démons, les aventures de Smokey Dalton, éblouissant d'intelligence et... d'humanité.
Rendez-vous le 11 Mars :)
Smokey Dalton, un très bel homme qui fait tourner la tête de toutes ces dames, a fui Memphis pour protéger son fils adoptif, Jimmy, unique témoin à avoir réellement vu l'assassin de Martin Luther King, et recherché depuis par le FBI. Sous une fausse identité, Smokey vit maintenant à Chicago où il exerce divers petits métiers. Un soir, alors qu'il rentre chez lui accompagné de la jolie Laura Hathaway, seule Blanche présente au gala donné par Ella Fitzgerald en faveur des enfants orphelins de la communauté noire, il entend des gémissements venant de l'appartement de sa voisine, Marvella... Kris Nelscott poursuit le récit des formidables enquêtes de son héros, qui débutent en 1968 avec la tragique disparition du leader de la communauté noire américaine. Dans Les Faiseurs d'anges, elle évoque un terrible drame : celui des avortements, formellement interdits, qui se terminent trop souvent à l'hôpital. Une nouvelle fois, le lecteur suit avec passion, dans une Amérique confrontée à ses éternels démons, les aventures de Smokey Dalton, éblouissant d'intelligence et... d'humanité.
Rendez-vous le 11 Mars :)
6 commentaires:
Tiens c'est drôle, j'ai reçu les mêmes aujourd'hui mais je ne dois rendre ma copie que le 17 mars... Je ne sais par lequel de ces poids-lours commencer tant ils ont l'air tous trois (très) bien. Bonne lecture, Faustine!
Bonjour !
Je viens de finir la sélection du mois de mars.. et j'ai adoré "Garden of love", le roman "Zoli" était bien aussi mais sans plus.. et le document "Le baiser d'Isabelle", ben, alors que je n'avais aucune envie de le lire.. une fois commencé, je n'ai pu arrêter de le lire : donc belle surprise !! ;-)
J'espère que tu prendras autant de plaisir que moi à la lecture du roman de Diane Meur..
Oh ! Je viens, moi, de regarder mon planning pour ELLE, et le colis que je vais recevoir très bientôt sera le dernier !! :-(
Et mes dernières critiques donc, sont à renvoyer pour le 31 mars !! Après, ça va faire tout bizarre de ne plus rien recevoir :-( ! C'était super quand même cette aventure littéraire :-)) et ça va être sympa le salon du livre, et la remise des prix !!
A bientôt
@Marie : Oui, les dates de fin m'étonnent un peu, car tu n'es pas la seule à devoir rendre tes commentaires le 17.
ELLE me confirme que c'est le 11 pour mon jury, comprends pas ...
En plus je les ai reçu tardivement (aujourd'hui), et pour le 11 ça va être juste avec des pavés comme ça :)
@Marie de Lectures & Cie : Moi c'est mon avant dernier :)
C'est clair que ça va nous changer, mais je vais un peu moins stresser par les dates :)
A chaque fois que je lis un livre perso, je pense à ce que je vais écrire comme commentaires et si je suis encore dans les temps :)
Moi aussi je serai là pour les 2 rendez vous. ça va être sympa :)
Pffffffffffiouuuuuu j'avoue que je zappe tes billets "grand prix du jury elle 2008"... T'arrêtes tellement pas de lire que j'arrive plus à suivre :/
Tiens samedi ciné gratos si ça te dit... Des infos sur mon blogounet :)
Oui, c'est vrai qu'être tenue d'envoyer pour telle ou telle date nos commentaires stresse un peu, surtout quand le délai est court !
Moi, j'envoie toujours mes critiques au tout dernier moment.. une fois j'ai même eu une de ces frayeurs : je pensais devoir les envoyer pour le lundi (donc avoir le week-end pour tout faire) mais le jeudi soir, je reçois un mail comme quoi, mes critiques devaient être envoyées pour le lendemain.. je ne te raconte pas la panique.. mais je crois que dans le stress, je n'ai jamais été aussi efficace ;-))
Bon, peut-être que l'on se rencontrera au salon du livre autour d'un thé (comme l'écrit ELLE ! ;-)
Au fait, je vois que tu relayes la bannière de Pénélope Bagieu.. moi, j'ai découvert récemment ce qu'elle faisait et j'aime beaucoup ! Et pour l'info.. au salon du livre, le 18 mars, il y a une animation "escale BD" à 16h intitulée : "Blog : un nouveau moyen de se faire connaître" qui m'interesse bien et en plus cette artiste y participera ! (vu sur le site web du salon)
A bientôt
Je remarque que j'ai encore été super bavarde !!
@Hisaux : Profite de ces billets pour te mettre à jour :)
Merci pour l'info cinoche, je vais voir si je suis dispo
@Marie (de lecture & cie) : Moi c'est la même chose pour les commentaires, en général je les envoie l'avant dernier jour.
Concernant Pénélope, je vais voir son blog tous les jours et j'ai acheté sa BD.
Cool qu'elle soit au salon du livre.
Toi, bavarde? NON !!!! :)
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