"Plage de Manaccora, 16h30" de Philippe Jaenada, aux éditions Grasset, 2009.
Résumé du livre piqué sur Evene (car j'aime bien ce site) :
Tout avait si bien commencé : en vacances un 24 juillet, au bord de l'Adriatique (à Peschici exactement), Voltaire le père, quadragénaire glissant sur ses tongs ; Oum sa femme, dont on sait depuis plusieurs livres la passion pour le ménage et l'ordre : Géo, leur petit garçon. Ils n'ont pas d'autre motif d'inquiétude que la perte de leurs chaussures japonaises. Le soleil chauffe. Trop. Ca grésille, les pommes de pin éclatent. Puis les flammes apparaissent, les visages bronzés blanchissent d'effroi, on commence à refluer depuis le camping voisin vers la plage, au pas de course. C'est le feu. Il faut gagner la mer, se croire sain et sauf, regarder derrière soi, laisser un chien au regard aveugle, une aïeule en robe noire, le feu progresse en un tumulte d'arbres arrachés, de rafales de vent, les visages noircissent, et puis c'est la fin de l'errance, le bout de la plage, la mort inéluctable. Les familles s'agenouillent au pied d'une Vierge absurdement posée là. Un miracle peut-il encore advenir ?
Ma critique :
Quand j'aurais terminé ma lecture que je savoure page après page. Elle s'avère plus que positive pour le moment.
Je ne vais en dire que du bien :)
Pour découvrir l'auteur c'est par ici.
Bonne lecture
Résumé du livre piqué sur Evene (car j'aime bien ce site) :
Tout avait si bien commencé : en vacances un 24 juillet, au bord de l'Adriatique (à Peschici exactement), Voltaire le père, quadragénaire glissant sur ses tongs ; Oum sa femme, dont on sait depuis plusieurs livres la passion pour le ménage et l'ordre : Géo, leur petit garçon. Ils n'ont pas d'autre motif d'inquiétude que la perte de leurs chaussures japonaises. Le soleil chauffe. Trop. Ca grésille, les pommes de pin éclatent. Puis les flammes apparaissent, les visages bronzés blanchissent d'effroi, on commence à refluer depuis le camping voisin vers la plage, au pas de course. C'est le feu. Il faut gagner la mer, se croire sain et sauf, regarder derrière soi, laisser un chien au regard aveugle, une aïeule en robe noire, le feu progresse en un tumulte d'arbres arrachés, de rafales de vent, les visages noircissent, et puis c'est la fin de l'errance, le bout de la plage, la mort inéluctable. Les familles s'agenouillent au pied d'une Vierge absurdement posée là. Un miracle peut-il encore advenir ?
Ma critique :
Quand j'aurais terminé ma lecture que je savoure page après page. Elle s'avère plus que positive pour le moment.
Je ne vais en dire que du bien :)
Pour découvrir l'auteur c'est par ici.
Bonne lecture
6 commentaires:
Je n'avais déjà noté. Le résumé me plait bien. Je le prendrai pour cet été.
@Leiloona : Très chouette blog littéraire ... Je vais le mettre dans ma blog list et ne manquerais pas de venir y faire un tour de temps en temps.
Quant au dernier Jaenada, si tu peux le lire en Italie au bord de la plage, c'est mieux :)
C'est un livre pour les pyromanes, non ?
Je déconne.
@Mamzelle Scarlett : C'est à peu près ça !
Je déconne :)
Alors je vais aussi prévoir un billet pour l'Italie ! :D
(Je viens d'ajouter ton blog dans mes liens aussi. J'aime bien le ton de tes billets. ;) )
@Leiloona : Merci :)
J'aime bien tes critiques, et tu postes régulièrement, c'est cool quand il s'agit de littérature. Et puis grâce à toi je découvre de chouettes auteurs.
Quant à l'Italie, j'espère que la végétation à repris ses droits sur l'incendie qui à ravagé la région des Pouilles en 2007. Mais je te laisse lire le livre :)
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